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Analyse de marché
La coalition au pouvoir au Japon s'effondre et les partis d'opposition se trouvent dans une impasse politique alors qu'ils négocient pour prendre le pouvoir.
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XM Foreign Exchange APP News - L'arène politique japonaise est enchevêtrée dans de multiples contradictions et est tombée dans une rare impasse politique : l'alliance au pouvoir depuis 26 ans entre le Parti libéral-démocrate et le Parti Komeito s'est soudainement désintégrée, et le chemin du nouveau chef du Parti libéral-démocrate Sanae Takaichi pour devenir la « première femme Premier ministre » a été bloqué ; les partis d’opposition ont profité de l’occasion pour négocier et prendre le pouvoir, mais il a été difficile de parvenir à un consensus en raison de divergences politiques. Ce jeu non seulement place le Japon dans un état particulier de « séparation entre le Premier ministre et le chef du parti », mais ralentit également la réponse économique et le processus diplomatique, laissant peu d'espoir d'une pause à court terme. Déclencheur : L’alliance au pouvoir depuis 26 ans s’est effondrée. Le Parti libéral-démocrate a perdu un soutien clé. L'effondrement de l'alliance au pouvoir a été la cause directe de l'impasse politique du Japon. Le 10 octobre, Komeito, le partenaire au pouvoir du Parti libéral-démocrate, a officiellement annoncé son retrait du gouvernement de coalition. La raison invoquée par le chef du parti, Tetsuo Saito, pointait directement vers « l'inertie en matière de réforme » du Parti libéral-démocrate. Après la révélation du scandale de financement très médiatisé, la résistance du Parti libéral-démocrate aux réformes politiques a rendu impossible la poursuite de la coopération du Komeito. Cette décision a mis fin à la relation de coopération entre les deux partis entamée en 1998, et a également supprimé le « vote clé » du Parti libéral-démocrate au Congrès : le Parti libéral-démocrate ne détient actuellement que 196 sièges à la Chambre des représentants, ce qui est sensiblement différent des 233 sièges majoritaires requis pour élire le Premier ministre ; et les 24 sièges détenus par le parti Komeito se trouvent être la force principale pour www.xmmen.combler cette lacune. Après avoir perdu le soutien du Parti Komeito, les fondements du pouvoir unique du Parti libéral-démocrate ont été instantanément ébranlés. Ce qui rend le Parti libéral-démocrate encore plus passif, c’est que la position du parti Komeito continue de changer. Le 13 octobre, Tetsuo Saito a cédé dans une émission de télévision par satellite, affirmant que si l'élection parlementaire du Premier ministre entre dans le second tour, le parti Komeito "n'exclura pas de soutenir le candidat de l'opposition" - cela contraste fortement avec sa précédente déclaration ferme selon laquelle "il est absolument impossible de soutenir le parti d'opposition" et ajoute une autre variable à l'élection du Parti libéral-démocrate. Maladroit:Sanae Takaichi s'est retrouvée face au dilemme suivant : « le chef du parti a le pouvoir, mais le Premier ministre n'a pas de nom ». Lorsque Sanae Takaichi a été élue présidente du Parti libéral-démocrate le 4 octobre, le monde extérieur était généralement optimiste quant à sa capacité à devenir la première femme Premier ministre du Japon. À cette époque, le parti d'opposition était divisé en son sein et le Parti libéral-démocrate www.xmmen.comptait sur les avantages de la coalition au pouvoir pour promouvoir son investiture en douceur au parlement intérimaire. Cependant, après le retrait du parti Komeito, la situation s'est www.xmmen.complètement inversée et Takaichi Sanae est tombé dans l'embarras « d'avoir le nom de chef du parti mais aucun pouvoir de Premier ministre ». D’une part, elle est incapable de promouvoir des politiques substantielles : bien que Takaichi Sanae ait souligné à plusieurs reprises qu’elle réagirait à l’inflation par le biais du budget supplémentaire et du projet de loi de réduction de la taxe sur l’essence, elle n’est actuellement que la chef du Parti libéral-démocrate et n’a aucun pouvoir pour donner des instructions aux agences gouvernementales ; et le gouvernement de Shigeru Ishiba, qui a annoncé sa démission le 7 septembre, est dans un état de « canard boiteux » et est également incapable de faire avancer des décisions majeures, et les mesures de réponse à l'inflation ne peuvent qu'être mises de côté. D’un autre côté, l’incertitude quant au poste de Premier ministre continue de croître : si les partis d’opposition parviennent à former une force www.xmmen.commune, leurs 210 sièges cumulés à la Chambre des représentants (le Parti démocrate cadet, le Parti national-démocrate et le Parti de l’innovation du Japon) suffiront à supprimer le Parti libéral-démocrate ; Même s'il y a des rebondissements dans l'alliance des partis d'opposition, le « virage neutre » de Komeito réduira considérablement la probabilité d'élection de Sanae Takaichi. Sa capacité à prendre le pouvoir ne dépend plus du Parti libéral-démocrate, mais de l'attitude des partis d'opposition et du Komeito. Jeu : Le parti d’opposition saisit l’opportunité de prendre le pouvoir, mais les divergences politiques deviennent un « bloqueur ». Le Parlement intérimaire, initialement prévu le 15 octobre, a été reporté au 21 octobre en raison de l'échec des négociations entre le Parti libéral-démocrate et le Parti Komeito. Face à « l'opportunité donnée par Dieu » de désintégration de l'alliance au pouvoir, le camp de l'opposition a lancé d'urgence des négociations pour prendre le pouvoir, mais s'est rapidement heurté à des divergences sur les politiques fondamentales, rendant le processus de coalition difficile. Le 14 octobre, les secrétaires généraux des trois principaux partis d'opposition ont tenu une réunion www.xmmen.comme prévu. L’objectif principal était de finaliser un candidat au poste de Premier ministre unifié et un cadre de coopération. Yoshihiko Noda, chef du Parti démocrate constitutionnel, a déclaré sans ambages qu'il s'agissait d'une « opportunité unique en dix ans pour un changement de régime au Japon ». Afin de promouvoir l'unité, le parti a même renoncé à nommer son propre chef et a clairement désigné Yuichiro Tamaki, chef du Parti national-démocrate, www.xmmen.comme « candidat principal ». Mais les divergences politiques sont rapidement devenues des conflits inévitables : Yuichiro Tamaki a clairement indiqué lors de la conférence de presse que les partis d'opposition avaient des divergences fondamentales sur les questions de sécurité nationale et d'énergie : le Parti démocrate cadet s'oppose fermement à « une législation d'autodéfense collective » et boycotte les nouvelles centrales nucléaires, tandis que le Parti national-démocrate et le Parti de l'innovation japonaise prônent des « politiques de sécurité pragmatiques » et soutiennent l'utilisation rationnelle de l'énergie nucléaire. "Si un consensus ne peut être atteint sur les politiques fondamentales, même si un gouvernement de coalition est formé, celui-ci sombrera rapidement dans la tourmente." La déclaration de Yuichiro Tamaki a révélé le plus grand dilemme de la coalition d'opposition. Impact : L’économie et la diplomatie ont subi des revers, et le vide politique continue de se creuser. L'impasse politique a eu un impact direct et négatif sur l'économie et la diplomatie japonaises, et les moyens de subsistance du peuple ainsi que son image internationale ont été endommagés. Sur le plan économique, les principales mesures de lutte contre l'inflation sont au point mort : le Congrès extraordinaire qui devait initialement se réunir le 15 octobre a été contraint d'être reporté au 21 octobre. Même si le Congrès se réunit www.xmmen.comme prévu, la préparation du budget supplémentaire prend généralement plus d'un mois. Selon les progrès actuels, la possibilité de l'adopter d'ici un an est mince. L'impact des prix élevés sur la vie des gens continuera de s'intensifier. Le marché a également donné des retours négatifs. Depuis que Komeito a annoncé son retrait de l'alliance, Nikkei 22L'indice 5 a considérablement chuté et la confiance des investisseurs s'est affaiblie. Au niveau diplomatique, l'agenda important est tombé dans l'embarras de « personne ne se connecte » : le nouveau dirigeant du Japon était censé faire ses « débuts diplomatiques » lors de la réunion de l'ASEAN en Malaisie, puis a été reçu le 27 octobre. À l'heure actuelle, l'arène politique japonaise se trouve dans un rare « dilemme à double sens » : après avoir perdu le soutien du parti Komeito, le Parti libéral-démocrate est incapable de contrôler seul le pouvoir ; Bien que le parti adverse ait un avantage en termes de sièges, il est difficile de former une force unifiée en raison de divergences politiques ; il y a même des voix au sein du Parti libéral-démocrate qui "maintiennent le statu quo" - certains membres suggèrent qu'Ishiba Shigeru devrait continuer à exercer ses fonctions de Premier ministre et maintenir temporairement la situation de "séparation du Premier ministre et du chef du parti". Cependant, cela n’est qu’un expédient impuissant et ne peut résoudre la contradiction fondamentale. La tenue du Parlement extraordinaire le 21 octobre est considérée www.xmmen.comme la clé pour sortir de l'impasse, mais à en juger par la situation actuelle, qu'il s'agisse du Parti libéral-démocrate qui fait pression pour que Takaichi Sanae prenne le pouvoir ou des partis d'opposition qui lancent des candidats www.xmmen.communs pour prendre le pouvoir, il y a un manque de certitude suffisante. Reste à savoir www.xmmen.combien de temps durera le vide politique au Japon et si les incertitudes économiques et diplomatiques vont encore s’intensifier.
Le contenu ci-dessus concerne "[XM Foreign Exchange] : la coalition au pouvoir au Japon s'effondre et les partis d'opposition sont dans une impasse politique alors qu'ils négocient pour prendre le pouvoir." Il a été soigneusement www.xmmen.compilé et édité par l’éditeur de XM Foreign Exchange. J'espère que cela vous sera utile pour votre trading ! Merci pour le soutien !
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